« L’image que tu as de ce que tu devrais être est simplement inatteignable. Elle n’est pas humaine. »

« L’image que tu as de ce que tu devrais être est simplement inatteignable. Elle n’est pas humaine. »

Cette phrase qu’elle a reçue de Sylvie Olivier le 22 avril 2017 a eu un effet « choc » sur Marie-Eve… Une phrase qui provoqua une fissure dans son armure de femme forte… Une phrase qui ouvrit la porte à un grand « OUI! » au Retour à l’Essence du Style de Vie Ultime.

Pour Marie-Eve Lamontagne, cette Journée Découverte de Golden Heart Wisdom fut sans aucun doute le Jour « J » d’une nouvelle vie… Une vie guidée par le cœur et la compassion plutôt que le mental et le jugement.

Ainsi, après plusieurs mois de transmutation, elle reçut l’inspiration d’écrire une partie de son expérience. Un exercice qui l’amena à se poser de multiples questions en lien avec les différentes sphères de sa vie au quotidien, la dualité, la Neutralité, etc.

Un texte et des questions qu’elle partagea ensuite avec Sylvie Olivier qui lui proposa de créer un projet de capsules vidéo, afin de répondre à ses questions.

Une idée inspirée que Sylvie et Marie-Eve partagèrent avec Marie-Ève Lord, l’animatrice des réseaux sociaux de Golden Heart Wisdom. Sans hésiter, Marie-Ève Lord leur répondit : « Mais vous êtes en train de créer une Webtélé! ».

C’est alors qu’est née la Webtélé Au Cœur de la Neutralité! Une Webtélé inspirée de l’expérience de Marie-Eve Lamontagne, qui trouvera certainement écho en vous avec son contenu riche et profond, qui touche toutes les sphères de notre vie.

Alors, si le cœur vous en dit, nous vous invitons à lire le texte de Marie-Eve Lamontagne qui a inspiré cette Webtélé.

Mon Expérience

Golden Heart Wisdom

Mon Expérience

Golden Heart Wisdom

PAR MARIE-EVE LAMONTAGNE

C’est en 2004 que j’ai eu à prendre la première grande décision de ma vie, outre celle de survivre chaque jour. Le mal-être qui m’avait habitée depuis toujours m’avait poussée à faire ce choix ultime, entre la vie et la mort. Je ne crois pas que j’aurais eu le courage de mettre fin à mes jours, et au fond de moi, vivait une espèce de certitude que j’avais quelque chose à apporter à ce monde. Je savais que je ne pouvais pas abandonner, je le sentais. Chaque jour je me disais : « tiens une journée de plus ». Faire le choix de vivre avait été très difficile, aussi étrange que ça puisse paraître. Choisir la vie c’était me choisir. Ça impliquait briser ma famille, laisser mon chum, vendre la maison. En bref, anéantir l’univers même de ce petit garçon d’à peine trois ans que j’avais mis au monde. Je m’étais juré que jamais je ne lui ferais subir ce que moi, j’avais subi après la séparation de mes parents. J’avais dû choisir entre lui, ou moi. C’était ma perception des choses alors.

Il est difficile pour plusieurs de savoir ce qu’est le mal-être quand on ne le vit pas. Certains ont cette propension naturelle à être heureux. Ils voient le bon en chaque être humain à travers toutes leurs couches de protection, le verre d’eau à moitié plein, l’arc-en-ciel au-delà des nuages. Je n’avais jamais vu que ce qu’on appelle « le négatif ». On m’appelait d’ailleurs souvent « la chialeuse » ou la « control freak ». Chaque jour de mon existence a été pour moi de la survie, sauf peut-être quelques-uns où j’ai vraiment ressenti la joie profonde. Quand on me disait « Souris! La vie est belle. », tout ce que j’avais envie de répondre était « fuck you ».

Oui, j’ai survécu. J’avais la couenne dure. J’étais forte! C’est ce que tout le monde me disait. J’étais plus forte que tout ça. J’allais déjouer la vie, affronter l’adversité et j’allais le gagner un jour mon bonheur.

En octobre 2004, alors que je quittais le nid familial pour aménager dans un demi-sous-sol, j’ai commencé ce que je pourrais appeler mon cheminement personnel. J’ai réalisé à quel point j’étais négative, ce qui m’a éveillée à beaucoup de choses. Je travaillais dans le milieu télévisuel, aux nouvelles principalement, où nous étions presque toujours en direct. Je n’avais d’autre choix que de performer, car une simple erreur pouvait être vue par un demi-million de téléspectateurs. J’ai pris goût à la performance, mais simplement performer, ce n’était pas assez pour moi. Je voulais être « la meilleure », la plus efficace, la plus rapide, la plus appréciée. La performance s’est tranquillement transformée en quête de perfection. Si je n’étais pas la meilleure, je serais quoi? Qui? Pour moi, il était clair que je ne serais rien et qui m’aimerait, si je n’étais rien? J’étais complètement coupée de moi-même, de mon essence, de tout ce qui faisait que « j’étais » bien au-delà de ce que je faisais.

Entre 2004 et 2013, j’ai lu tout un tas de livres, vu des conférences, visionné des vidéos, rencontré des gens, vécu des expériences. Je me suis étourdie dans le développement personnel, cherchant sans m’en rendre compte à trouver une valorisation à l’extérieur de moi. J’ai donc voulu aider parfaitement les gens, être toujours présente pour eux, faire la bonne chose, toujours, avoir une parfaite estime de moi, une confiance inébranlable, etc. Pour cause, je faisais beaucoup d’angoisse et d’anxiété, car je n’atteignais jamais cette image de moi-même que je croyais que je devais être. Ce qui concernait les questions d’argent me stressait également énormément. J’avais une peur du manque comme vous pourriez difficilement l’imaginer. Je me demandais souvent si j’avais crevé de faim dans une autre vie. J’avais l’impression que je n’aurais jamais assez et l’idée de perdre ce que j’avais me terrifiait. Vous savez, cette idée que tout est limité et que si une personne l’a, moi je ne l’aurai pas?

J’étais complètement fermée à l’amour. J’en avais une trouille atroce. J’ai été jalouse, possessive et contrôlante. J’avais si peur. J’étais persuadée que je serais trahie, trompée, rejetée. Ça ne pouvait faire autrement. Qui aurait aimé une fille imparfaite?

Je me suis donc bien protégée toutes ces années, dans ma prison de barbelés, ou mon château de glace. Après la faillite de TQS, le réseau de télévision pour lequel je travaillais, j’ai effectué une transition vers un travail de bureau, ce fameux univers du 9 à 5, à passer 10 heures par semaine dans le transport en commun, à sentir son essence s’éteindre, son corps se crisper jusqu’à ne plus rien digérer. Là-bas, il n’y avait aucune limite à ma performance. Il n’y avait que moi pour m’arrêter, mais sans aucune compassion pour moi, je me poussais encore et encore. C’est ainsi que j’allais chercher une illusion d’amour, à travers les yeux de mes collègues.

Je me suis effondrée en 2011, pour ce que je croyais être un simple épuisement. Je ne comprenais pas comment je pouvais en être arrivée là. Je n’étais sûrement pas normale. Je me souviens m’être laissée deux mois pour accueillir l’épuisement, puis je me suis retournée au boulot à grands coups de pieds aux fesses, craignant que rien ne soit aussi parfait dans mes dossiers, que si c’était moi qui serais assise dans ma chaise. J’ai réussi à tenir le coup deux mois, et je me suis effondrée à nouveau. Après trois mois de sursis cette fois, je m’étais dit « tu t’es assez reposée ».

Je me suis battue contre moi-même de toutes les manières qu’il était possible, sans m’en rendre compte bien sûr. J’avais encore et plutôt l’impression d’être plus forte que l’adversité. Comme si j’allais me laisser atteindre! Pire, abattre! Je me projetais toujours dans le futur, essayant de le contrôler, ou je ressassais le passé, me positionnant comme victime de mon vécu. Je n’avais aucune idée encore à quel point je tentais de tout contrôler.

C’est en septembre 2013 que j’ai eu mon dernier billet de médecin, et deux mois plus tard, je me lançais dans le vide, ce grand vide. Une autre fois, je me choisissais, même si tant de gens auraient voulu ma job. J’avais « tout » selon plusieurs, mais je m’en allais tout droit vers une mort certaine. De mon corps, peut-être pas. De mon essence, sans aucun doute.

C’était le chaos total en moi. J’avais sauté dans le vide, j’étais débile! J’avais dit un grand OUI à l’univers. J’avais une certitude qu’il m’appuierait, mais c’était tellement illogique ce que je faisais. Mère célibataire, sans plan, sans job, sans épargne. Beau topo! Je n’en pouvais simplement plus de cette vie-là. On endure souvent très longtemps, avant d’arriver à ce moment où il n’y a plus aucun doute possible, où tu es prêt à n’importe quoi d’autre que « ça ».

J’ai cheminé dans cette grande expérience, celle de me trouver, ou plutôt de me retrouver. Pour ce faire, j’ai replongé intensément dans le développement personnel. J’ai appris à « gérer » mes émotions, à « développer l’équilibre », à « construire » mon bien-être, à « bâtir » mon estime de moi, celle-là même qui avait toujours été inexistante. J’ai lu et entendu tant de phrases du genre « deviens la meilleure version de toi-même », « défie tes limites », « il faut travailler fort pour avoir du succès ».

Même dans le beau monde du développement personnel, en tant que femme « libre », à mon compte, sans emploi restreignant, j’étais encore prise dans une structure castrante, où je devais faire ceci, comme cela sinon, aie, je ne l’avais donc bien pas l’affaire! J’étais aussi étouffée qu’avant, mais en plus, je n’avais plus de salaire qui entrait, et j’avais la pression du monde de la croissance personnelle, d’avoir une bonne estime de moi, de la confiance, etc. Je ne pouvais aucunement être moi. J’étais qui moi au fait? Je n’en avais aucune idée.

Je me suis rendu compte que l’effort, quand il ne vient pas de notre cœur, ne mène à rien, sinon qu’à plus d’épuisement. Je me suis donc pété le nez encore, et encore, et ce, même si « des rêves » se sont réalisés en cours de route, comme de publier mon premier livre, de participer à des émissions de radio, de faire des conférences et même de trouver l’amour, cet amour que j’avais la certitude de connaître un jour.

Malgré tous ces « succès », rien ne se passait en moi. J’étais toujours en quête de quelque chose: d’argent, de joie, de bonheur, d’expériences. J’avais certes fait beaucoup de chemin, mais il manquait une clé à mon trousseau. Tout ça ne faisait pas de sens pour moi, et j’avais honte de le penser, car je l’avais partagé aux autres à travers tout ce que j’avais fait. Qu’allaient-ils penser de moi? Me traiter de folle? Me juger?

Je suis devenue si confuse à travers tout ce qui était offert sur le marché de la croissance personnelle, que je me suis complètement perdue. La seule chose qui ne m’ait jamais ramenée à moi a été d’écouter mon intuition, cette petite voix du cœur si puissante qui avait toujours été là pour guider mes actions et mes pas. Je l’écoutais de plus en plus.

Elle a vibré fort en moi quand j’ai entendu parler de la Journée découverte offerte par Golden Heart Wisdom, le 22 avril 2017. J’avais malheureusement un engagement cette journée-là, une entrevue pour mon livre sur lequel j’avais travaillé « si fort ». Je m’étais dit « si j’ai à y aller, tout se placera ». Le lendemain, j’avais reçu un message me disant que l’entrevue était reportée à une date ultérieure. J’avais alors su que ma place était dans cette salle et j’avais aussitôt acheté mon billet.

Je n’avais aucune idée de qui était Sylvie et Bernard, outre ce que mon amie Josyane Bissonnette,  m’en avait partagé. Ça mangeait quoi en hiver Golden Heart Wisdom? J’étais assise avec mon amoureux et des amies dans une salle de conférence bien commune, au plancher en tapis. J’écoutais attentivement, pour ne pas dire que je buvais chaque mot comme si j’avais eu soif pendant 20 ans! J’avais l’impression d’entendre, au travers une bouche et des oreilles humaines, ce que je savais tout au fond de moi depuis toujours, mais qui n’avait pu retrouver son chemin jusqu’à ma conscience. Autre chose m’était offert. Autre chose que la transformation longue et périlleuse où on doit « travailler » sur soi, pour enlever les couches de protection, les limitations, les fausses croyances, les peurs. J’allais découvrir un mot qui allait complètement changer ma vie, un mot tout simple, qui se trouve pas mal au début du dictionnaire : ACCUEIL. Oui, l’accueil, plutôt que l’acceptation.

« L’acceptation c’est en quelque sorte se résigner », disait Sylvie.

Eurêka! Un éclair avait traversé tout mon être. J’avais voulu aller en avant pour de l’assistance live, tâter le pouls de plus près de ce qu’ils faisaient. J’avais explosé en larmes quand Sylvie, simplement à me regarder, m’avait dit : « L’image que tu as de ce que tu devrais être est simplement inatteignable. Elle n’est pas humaine ». En effet, j’avais toujours exigé de moi ni plus ni moins que la perfection, une perfection qui, nous le savons, n’existe pas, mais qui en plus, m’amenait dans une performance extrême où à continuer ainsi, j’allais probablement mourir avant de « trouver » le bien-être. Cette journée a changé ma vie. C’était le début d’un nouveau style de vie qui, quoique confrontant par moment, allait me permettre d’accueillir des expériences extraordinaires pour me libérer de ce qui m’avait toujours torturée.

Pendant le mois de mai, j’ai accueilli ces nouvelles informations qui étaient parvenues jusqu’à moi, et je m’ouvrais à elles. Un programme commençait : « Et si l’argent était votre meilleur ami, comment le traiteriez-vous? ». Oh boy! J’en avais des blocages avec l’argent. Juste le prix du programme, très peu dispendieux pour l’expansion qu’il m’a fait prendre, me donnait le vertige. C’était LA chose au monde que j’avais le plus de difficulté à accueillir. Ça et l’amour. Curieusement, l’amour et l’argent étaient arrivés ensemble dans ma vie, quelques mois auparavant. Même si je n’avais toujours pas d’emploi, rien de fixe, pas tellement d’entrées d’argent qui venaient de moi, mille excuses et tout le tralala, j’ai dit OUI à ce programme. J’en avais marre d’être esclave de mes peurs. J’étais prête pour autre chose. J’étais prête à sauter à nouveau dans le vide.

J’avais également vu cette retraite, qui venait comme ça effleurer mon cœur. Elle se passait à Saint-Martin : Dévoiler la divine féminine en soi. Oh que ça me parlait! Je l’avais laissé de côté si longtemps mon féminin sacré. J’avais joué à l’homme fort toute ma vie.

Je n’avais besoin de personne moi, pfff, j’étais capable de tout gérer toute seule. Accueillir l’amour des autres en acceptant qu’ils m’assistent? Hum, pas vraiment. Quelle insulte! Accueillir l’amour pour moi, encore moins. La compassion? C’était quoi ça déjà?

Je m’étais jugée toute ma vie et comme tel, j’avais jugé les autres aussi. C’est ainsi que je restais très loin de moi-même.  Si j’avais su alors qu’ils ne faisaient que refléter ce que je craignais le plus en moi, j’aurais arrêté de juger! Mais non, je devais passer par là, pour accueillir la compassion et également accueillir l’idée que la vie n’avait plus à être lourde et difficile. Que je n’avais plus à travailler dur, à la sueur de mon front pour mériter le succès. La simplicité et la fluidité m’étaient offertes, non sans engagement envers moi-même, mais je sentais que si je voulais un jour me libérer, la voix était celle-là.  Toutes les autres m’avaient rendue malade et n’avaient jamais fait aucun sens pour moi.

Cette retraite, je la ressentais profondément, mais à 5 chiffres, le prix demandé me donnait le vertige. Et si c’était possible pour moi?

« Accueille cette possibilité », avait dit Sylvie. « Si tu le ressens, dis ton grand OUI et les ressources se présenteront à toi. Elles sont déjà là».

Bien sûr j’en doutais, mais j’ai dit OUI!

J’avais senti cette inspiration de mon cœur, et j’avais posé une action très simple, que le mental avait jugé comme étant ridicule. J’ai reçu un montant de 7 500$ suite à cette action inspirée, montant qui m’a permis de réserver la retraite et mon vol à moins de deux semaines du départ. Je tremblais de partout. Qu’est-ce que je venais de faire là? J’aurais pu payer des dettes avec ce montant-là! Comment allais-je payer la contrepartie? OMG!

Je suis finalement partie, toute seule comme une grande en direction de Saint-Martin. Sylvie et Bernard m’avaient accueillie à l’aéroport. J’avais ressenti très vite cette ouverture en moi. Cet endroit, la villa, avait quelque chose de spécial.

Je pourrais difficilement décrire en des mots ce que j’ai vécu pendant cette semaine. Les seuls qui me viennent à l’esprit sont « expérience de retour à soi très profonde». Pas le soi qu’on s’est construit au fil du temps, avec notre mental, mais notre soi le plus pur, notre essence. J’ai découvert trois autres merveilleuses femmes, qui je l’espère resteront dans ma vie longtemps. Nous avons partagé des moments extraordinaires. J’ai libéré simplement énormément de choses que j’avais jusque-là travaillées si fort à faire disparaitre, et ce n’était que la pointe de l’iceberg. Je me souviens d’avoir écrit tout ce que j’étais prête à laisser aller pendant la retraite. Ça m’avait pris six pages. J’avais alors réalisé tout le poids que j’avais porté, que nous portons tous dans notre corps humain, quand on se coupe de soi. J’avais bien pu en faire des burnout et des dépressions. J’en aurais fait encore longtemps.

La retraite a été l’une des plus merveilleuses expériences de ma vie. Pas une expérience de fausse joie momentanée où on est heureux et qu’on remet nos vieux souliers au retour. Une expérience où j’ai braillé ma vie, où j’ai écrit, fait de l’insomnie, de merveilleuses prises de conscience et oh combien de libération de toutes ces archives mentales et émotions cristallisées prises dans mon corps.

Intégrer tout cela au quotidien à mon retour a certes été confrontant, mais je savais désormais que l’accueil et la respiration étaient mes deux grands alliés. Je savais que dès que la confusion brouillerait mon esprit, je n’avais qu’à revenir dans mon cœur et suivre ces inspirations. Du reste, j’ai accueilli 5 000$ à mon retour, en ne faisant rien du tout, ce qui a payé en grande partie la balance du paiement.

Il s’en est passé des choses depuis, à suivre mes inspirations, à partager ce que je vivais via ma page Facebook, etc. J’ai assisté des gens, simplement, sans rien forcer. Mon passé familial s’est révélé à moi sous un nouveau jour. Certaines relations ont changé, ou disparu. D’autres se sont présentées. Ma vision de la vie et du monde en général a changé. Je me sens plus près de moi et de ceux que j’aime. Je ressens beaucoup moins le besoin de contrôler, d’avoir raison, de me prouver. J’accueille la compassion, mon don, que j’ai beaucoup mieux compris au travers le programme Naviguer avec fluidité à travers le nouveau cycle d’expansion. Wow! Je me suis rendu compte à quel point les partages des uns aux autres nous assistent dans notre propre vie. Je ressens aussi moins le besoin de juger, mais plutôt d’accueillir chacun tel qu’il est, en comprenant que l’amour pur nous habite tous, mais que ce sont nos couches de protection qui font que nous agissons de telle ou telle manière, ce qui fait qu’on condamne souvent. J’accueille et je découvre tous les jours de nouvelles expériences…

Avec amour et compassion

Marie-Eve

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